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1122 résultats. Page 51 sur 57.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 1h. 50min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13553
Résumé:Cette longue nouvelle de Henry Miller est un croissant de lune dans un dessin d'enfant, un sourire dans une oeuvre torturée, une fable poétique au royaume des damnés ... Les habitués des sulfureux "Tropiques" seront déconcertés par la sourde mélancolie, le mysticisme même, de ce "Sourire", mais ne pourront qu'y succomber. Auguste est clown. Il a reconnaissance et gloire. Mais il n'est pas heureux. Il veut atteindre le sublime, "naître et mourir" sur la piste, fondre sous les acclamations et entraîner la foule avec lui, dans un paradis virtuel. Auguste va sombrer en enfer. Cette nouvelle est une parabole sur le métier d'artiste, la torture de la création et son bonheur, si fragile. Un chef-d'oeuvre miniature et surprenant. (Martine Laval, Télérama, 26/12/2001)
Lu par : Simone Reeve-Gagnebin
Durée : 12h. 6min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13327
Résumé:80 aventures du Petit Nicolas écrites par René Goscinny et illustrées par 259 dessins de Jean-Jacques Sempé dormaient dans des cartons depuis près de quarante ans. Publiées dans la presse entre 1959 à 1965 (Sud-Ouest Dimanche, Pilote et Elle), elles n'avaient jamais été éditées en livre. On y retrouve l'humour, la tendresse et l'extraordinaire « langage d'enfant » que Goscinny a inventé pour Nicolas et ses copains, agrémentés des merveilleux dessins de Sempé. Ces 80 histoires ont le même parfum que les précédentes aventures du petit Nicolas.
Lu par : Francine-Charlotte Gehri
Durée : 3h. 45min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13669
Résumé:Les nouvelles réunies par Yves Delange dans ce recueil qui porte le titre de l'une d'elles "Le Concert à Kyoto" et qui a reçu le prix Stendhal de la ville de Grenoble, sont autant d'aquarelles et de croquis réalisés aux quatre coins du monde par un promeneur attentif. Car si chacune d'elles porte la marque du souvenir, - l'enfance, la guerre, l'amour, le paradis artificiel, la découverte... - la narration, elle, est toujours dominée par le regard amoureux et savant que le botaniste accorde aux couleurs, aux parfums, aux floraisons, et l'entomologiste aux petits drames et aux grands mystères de la nature. On retrouve là le don d'observation, le style et le tendre humour du biographe de Fabre que Bernard Pivot fit découvrir voici quelques années.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 2h. 7min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13448
Résumé:Quatrième de couverture : De l'amour, Pavese ne retient que la sexualité, liée au sang et à la mort. Les femmes jouent avec les hommes qui les aiment ; elles les manipulent, les trompent, les rejettent... Une violence à peine contenue mise en valeur par le style nerveux et l'intensité de l'écriture.
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 2h. 52min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13428
Résumé:...Un recueil de nouvelles, donc, comme son titre le laisse entendre, mais un recueil divisé en 2 parties. Dans un premier temps, Claude-Inga Barbey nous livre 4 nouvelles, 4 destins de gens ordinaires et dont le trait commun est cette forme sournoise d'entrave à la vie que fait peser sur eux un douloureux passé. Betty, que seul la mort de sa mère indigne libérera du poids de la vie, Edith, inféodée à un époux hostile, qui cherche dans l'imaginaire des histoires qu'elle dessine pour les enfants, l'improbable consolation de la perte de ses parents, Louise, enfant de l'assistance publique, qui est incapable de croire à l'amour de Vincent tant elle se croit peu digne d'amour et d'intérêt, et cet homme, enfin, qui n'a pas de nom dans la dernière nouvelle, abusé sexuellement par son beau-père et qui ne trouvera que dans une sorte d'abandon sauvage un sentiment d'existence. Un indéfectible sentiment d'abandon ancré toujours dans une enfance blessée, fait de chacun de ses êtres des analphabètes de l'amour. Et puis, dans une seconde partie du livre, ce sont des textes brefs que nous propose Claude-Inga Barbey, qui relèvent moins de la nouvelle que de la chronique, ou même de l'instantané. Une quinzaine de textes dans lesquelles l'auteur croque des instants de vie, cristallise un quotidien dans lequel elle débusque ces palpitations de l'âme, ces fragments d'émotions qui conditionnent nos actes et trahissent nos blessures. (www.rsr.ch)
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 8h.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 13314
Résumé:Quatrième de couverture : Marcel Ledieu, concierge rue Belle Venette, a découvert dans l'héritage de sa tante un objet bizarre : un drôle de machin qui se refuse à révéler son nom et son usage...
Lu par : Francine Chappuis
Durée : 4h. 57min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13385
Résumé:Résumé : " J'ai treize ans mais je ne sais même pas dans quelle étape de ma vie je me trouve, ici on mûrit en un clin d'oeil, mais en même temps, je ne sais rien de la vie. Pour moi, le monde c'est la Vieille Havane, et à la limite, le quartier du centre. " Le regard éblouissant de lucidité d'une jeune fille de treize ans sur un touriste-photographe émerveillé par la richesse et la beauté des quartiers délabrés de Cuba, l'époustouflante rencontre entre Beatriz et le fantôme d'Arthur Rimbaud, celle invraisemblable d'un homme et d'une femme en plein milieu du désert, sans oublier l'amertume des Noëls interdits de La Havane ou la lettre d'un couple aux rois mages pour redevenir enfants... Autant de portraits colorés, baroques ou insolites, de personnages pétillants de vie et avides de beauté malgré leur détresse et la misère, des trafiquants de beauté.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13423
Résumé:Parues entre 1909 et 1937, ces histoires de fantômes ont le charme de ces textes anciens dans lesquels sont dépeints des lieux, maisons, pièces où l'anormal se glisse subtilement, insidieusement. L'auteur n'y recherche pas la frayeur à tout prix, mais cisèle des histoires simples où le mystère plante sa griffe en douceur...
Lu par : Francine-Charlotte Gehri
Durée : 6h. 39min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13413
Résumé:LA DEDICACE DE L'AUTEUR : Je suis mort. Je suis mort et c'est bien dommage. C'est dommage parce que, si je n'étais pas mort, je pourrais voir qu'on commence à traduire mes livres en français. Moi, n'est-ce pas, je suis Bernois ; alors j'écris en allemand, forcément. Je suis mort et c'est dommage, parce que si j'étais vivant, je pourrais constater que le monde est toujours aussi impitoyable, dérisoire, effrayant, drôle, pathétique, que je le décris dans mes livres. Si j'étais vivant, je pourrais constater que tout se passe comme je l'ai prévu en 1979 : le capitalisme est toujours plus sauvage, la nature toujours plus bafouée. L'homme reste capable de tout et de son contraire pour un petit profit à court terme. La cruauté de l' 'homo' qui se dit 'sapiens' n'a d'égale que sa bêtise. Heureusement, il y avait quelques fous, dont moi. Quelques fous qui avaient raison avant les autres. Quelques fous qui, plutôt que de hurler de peur ou de douleur, avaient pris le parti de rire. Voilà. Je suis mort et c'est tant mieux. Je suis mort de rire.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 10h. 8min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13399
Résumé:Ce que sont les liens invisibles qui réunissent la vingtaine de nouvelles composant ce recueil - écrit en 1894 par Selma Lagerlöf, après son premier roman, La Saga de Gösta Berling -, ce sera finalement au lecteur de le définir. S'agit-il des présences magiques qui hantent la forêt où des paysans ont tué un ours le jour de Noël, et la lande où une jeune femme visionnaire danse jusqu'à en mourir ? S'agit-il des chaînes secrètes qui lient hommes et femmes aux anciens membres de leur famille ? On pourrait aussi penser à la communauté de destin entre la jeune fille bernée par un menteur, la femme liée à la disparition d'une ville sous les eaux et ces militantes des droits des femmes ou des pauvres... De terribles spectres passent, cachés derrière un portrait, dissimulés dans une armure ou sous l'habit d'un cocher de fiacre. La nature toujours est présente...
Lu par : Daniela Pistacchi
Durée : 2h. 41min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13684
Résumé:Pour chacune de ces sept nouvelles sanglantes, tout se joue dans l'alcôve familiale, secrets amoureux et parfois incestueux. À partir d'une situation banale, Nicolas d'Estienne d'Orves lève le voile sur les noirceurs de l'âme grâce à un art de la chute terrible.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 4h. 30min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13643
Résumé:Quatrième de couverture : Deux récits, Famille et Bourgeoisie, recréent les microclimats de la bourgeoisie italienne des années 60. Une décadence inexorable y affecte en sourdine les relations entre les êtres. Dans un style drôle et faussement naïf, Natalia Ginzburg décrit le délitement des liens familiaux, sur le mode de l'insouciance pour les jeunes générations ou de la résignation pour les plus âgés. Elle capte avec une irrésistible lucidité les fractures intimes entre mari et femme, entre enfants et adultes.Ecrit dans un langage parlé d'une saveur délicieuse, ce livre est une plainte murmurée douce-amère où l'on ne sait ce qui l'emporte du comique ou des larmes.
Lu par : Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée : 6h. 12min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 14530
Résumé:Quatrième de couverture : Ce livre est proposé comme un bâton de voyage pour la route quotidienne. Emile Gardaz a réuni sous cette enseigne plus de quatre-vingts histoires ou moments-images nous emmenant au coeur du pays profond, à deux pas ou mille lieues de chez vous. Nous naviguons dans le malconnu d'ici ou derrière la toiles de fond de l'horizon, entre rêve et réalité, souvent placés devant notre propre miroir...
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 14h.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13296
Résumé:Ces nouvelles écrites pour de l'argent et qui parlent de l'argent, avec toutes les contraintes du genre ... demeurent, en dépit ou plutôt en raison de ces impératifs-là, peut-être ce que Francis Scott Fitzgerald a écrit de plus juste, de plus délicat, de plus sensible et même de plus déchirant dans son oeuvre. La simplicité et la désinvolture de sa phrase, la mélancolie vagabonde de ses métaphores, la jeunesse si fragile de ses héros, ses jeunes filles toujours trop cyniques ou trop rêveuses, ses jeunes gens qui se laissent glisser sur la vague de leurs sentiments, qui trompent leur tristesse comme on trompe son ennui, et dont le temps, l'érosion des sentiments agitent et assombrissent l'âme, tout cela trouve encore une fois ici un parfait équilibre ... Mais il y a plus. Il y a la vie même de Fitzgerald qui s'y dessine en filigrane. D'où le grand mérite de l'édition établie par Jacques Tournier, et qui rassemble, outre "Tendre est la nuit", les récits précédemment parus dans des recueils comme "Love Boat" ou "Fragments du paradis" ainsi que quatre nouvelles inédites et plus directement autobiographiques. Toutes sont regroupées ici par ordre chronologique. On peut y suivre ainsi le désenchantement précoce de l'écrivain. Le Nouvel Observateur - Frédéric Vitoux
Lu par : Georges Grosjean
Durée : 3h. 15min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13556
Résumé:Dans une veine délicate, les nouvelles du Genevois Michel Floquet sont autant de portraits de contemporains, brossés avec une truculence ironique, mais jamais dépourvus de compassion ni de clémence. Un recueil magnifiquement écrit et rayonnant de chaleur humaine...
Lu par : Alain Grundlehner
Durée : 3h. 9min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13610
Résumé:Quatrième de couverture : Inspiré d'un souvenir de son enfance à Brooklyn, La boutique du Tailleur fait revivre le New York des années 1900 avec ses personnages hauts en couleur. Avec Plongée dans la vie nocturne, Henry Miller nous entraîne dans un long cauchemar peuplé d'ombres menaçantes, de fantasmes terrifiants, d'érotisme et de mort. Deux textes très différents, mais d'une grande liberté d'écriture pour pénétrer dans l'univers de l'auteur scandaleux du Cauchemar climatisé.
Lu par : Alain Grundlehner
Durée : 3h. 32min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 13503
Résumé:Une fois dans sa chambre, il se jeta sur un canapé et ses yeux s'emplirent de larmes. Il avait fait de son mieux pour commettre le meurtre, mais il avait échoué à deux reprises sans que ce fût sa faute. Il avait essayé de faire son devoir, mais le Destin lui-même semblait s'acharner à le trahir.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 1h. 40min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13510
Résumé:Un homme est changé en statue au moment où il embrasse son chien pour la dernière fois. Une femme explique au docteur qu'elle ne comprend pas comment son mari a pu se fendre le crâne sur une hache en tombant de son lit. Un enfant, accompagné d'un puma "splendide, beige et doré", marche au bord d'un canal où il croisera son père pour un rendez-vous décisif. Ce père qui, dans la toute dernière histoire, la plus autobiographique certainement, "ne s'est jamais promené main dans la main avec sa fille" et termine ses jours "dans une horrible ville industrielle, qu'il n'avait jamais aimée". Ving cinq textes baignant dans une atmosphère étrange et émouvante, qui ont été composés au fil des années, dès le début de l'exil d'Agota Kristof hors de Hongrie, en 1956.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 2h. 8min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13566
Résumé:Situé dans un hameau mythique du Missouri, ce petit conte singulier raconte les mésaventures de John Gray, humble fermier déterminé à marier sa fille Mary au fils de la plus riche famille du pays. La soudaine apparition d'un mystérieux inconnu, un certain comte de Fontainebleau, découvert inconscient dans la neige (on apprendra que c'est à cause de son patron, un certain Jules Verne, qu'il a atterri au cœur de l'Amérique au terme d'une aventure en ballon), non seulement entrave les projets de Gray, mais conduit à un meurtre qui scellera le destin de Mary et de son véritable amour...
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14936
Résumé:Quatrième de couverture : "Aussi loin que je me souvienne, la scène représente un garçon aux longs cheveux noirs, isolé dans le cercle familial et qui écrit des horreurs. Il écrit comme on arraches les ailes des mouches, les pattes des sauterelles - comme j'avais brisé un jour celles de mon hamster en l'obligeant à sauter plusieurs fois d'un tiroir à l'autre de ma commode d'enfant. Il se fait un sang d'encre, il noircit des pages et des pages, il a l'air d'un page, on l'appelle ainsi : le page. Et je croirai longtemps qu'autrefois, le page était ainsi nommé parce qu'il écrivait des pages ; que c'était un copiste, qui tenait la plume de son maître."